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MONSTRES MYTHOLOGIQUES

CERBERE

Publié le 10/01/2007 à 12:00 par humeurs
CERBERE
Monstre dont la mythologie faisait le gardien des Enfers. Fils de Typhon et d'Echidna, c'était un chien à cinquante ou cent têtes, selon les auteurs; Dans l'art il est représenté avec trois têtes, une queue de dragon, et des têtes de serpent sur l'echine. Les morts eux mêmes devaient l'apaiser en lui présentant le gateau de miel qu'on avait placé dans leur tombe en même temps que l'obole pour Charon. Mais Cerbère était surtout terrible pour les vivants qui essayaient de forcer la porte des Enfers comme Pirithoos et Thésée, qui cherchaient à enlever Perséphone. Orphée le calma en lui jouant de la lyre, puis Enée lui jeta le gateau préparé par la Sibylle. Héraclès seul, réussit à le dompter. Il enchaîna Cerbère et l'amena à Trézène, puis le renvoya aux Enfers.


Il est un chemin dont la pente, assombrie par des ifs vénéneux, conduit, à travers un profond silence, aux demeures infernales ; là, les eaux inertes du Styx envoient les vapeurs qu'elles exhalent ; c'est par là que descendent les ombres récentes et les fantômes qui ont reçu les honneurs du tombeau. La Pâleur et le Froid habitent dans toute leur étendue ces lieux incultes ; les mânes nouveaux ignorent où est le chemin qui conduit à la ville du Styx, où est le palais redoutable du roi Dis ( Hadès ). Cette ville immense a mille avenues et des portes ouvertes de tous côtés ; comme la mer reçoit les fleuves de toute la terre, ainsi ce séjour reçoit toutes les âmes ; (...) Partout vont et viennent des ombres exsangues, sans chair et sans os; les unes se pressent au forum, les autres dans le palais du souverain d'en bas ; d'autres se livrent à divers travaux qui leur rappellent leur vie d'autrefois ; d'autres subissent le châtiment qu'elles ont mérité.
Junon, fille de Saturne, se résout à quitter sa demeure céleste pour se rendre en ce lieu (tant elle s'abandonne à sa haine et à sa colère). A peine y a-t-elle pénétré, à peine, foulé par son corps sacré, le seuil a-t-il gémi que Cerbère lève sa triple tête et pousse à la fois trois aboiements. Elle appelle les soeurs nées de la Nuit, divinités terribles, implacables.
Assises devant les portes d'acier qui ferment la prison, elles peignaient les noirs serpents de leur chevelure ; dès qu'elles ont reconnu Junon dans l'obscurité du brouillard, les déesses se lèvent. Ce lieu se nomme le séjour du crime ; là, Tityos présentait ses entrailles à déchirer, étendu sur neuf arpents ; là, Tantale, tu ne peux atteindre l'eau et l'arbre qui penche sur ta tête t'échappe sans cesse ; toi, Sisyphe, tu cherches à saisir ou tu pousses devant toi ton rocher prêt à retomber ; Ixion tourne sur sa roue, condamné à se poursuivre et à se fuir ; pour avoir osé travailler à la mort de leurs cousins, les petites-filles de Bélus puisent sans fin une eau qui va être perdue pour elles.

OVIDE Les Métamorphoses


LES CENTAURES

Publié le 10/01/2007 à 12:00 par humeurs
LES CENTAURES
Les CENTAURES sont un Peuple sauvage d'aspect monstrueux -chevaux à torse et tête d'homme- qui habitait, selon la légende, en Thessalie et en Arcadie. Nés de l'union illusoire d'Ixion et de Néphélé, ils étaient redoutables pour leur brutalité, à l'exception de Chiron et de Pholos.
Ainsi invités aux noces de Pirithoos, roi des Lapithes, il s'enivrèrent et s'emparèrent de la jeune épouse et d'autres femmes, mais ils furent vaincus et chassés de Thessalie. Le combat des Centaures et des Lapithes et la victoire de ces derniers, aidés par Thésée, symbolise le triomphe de la civilisation sur la barbarie.
Un des Centaures, Nessos, est lié à la légende de la mort d'Héraclès.

Chiron se distinguait de ses semblables, brutaux et incultes, par sa bonté et sa sagesse. Apollon et Artémis lui enseignèrent l'art de la médecine et de la chasse, puis il fut lui même l'éducateur d'Asclépios, d'Achille, d'Héraclès, de Jason, de Palamède et d'autres héros. Il sauva Pélée, attaqué par les Centaures, puis, blessé, lui même accidentellement par Héraclès et souffrant atrocement, il accepta de mourir à la place de Prométhée lui cédant son droit à l'immortalité. Il prend place parmi les constellations sous le nom de sagittaire.

LES HARPIES

Publié le 10/01/2007 à 12:00 par humeurs
LES HARPIES
Les Harpyes (ou Harpies) les filles de Thaumas et de l'Océanide Electre, Aellô, Ocypétès, et Célaeno, étaient considérées par Hésiode comme des femmes ailées à la belle chevelure, puis, peu à peu, la légende leur donna l'apparence de monstres épouvantables. Homère qui ajoute Podargé les considérait plutôt comme les déesses des tempètes.Leur corps osseux de vautour, leur visage ridé, leur bec et leurs ongles crochus, l'odeur épouvantable qu'elles répandaient autour d'elles sont autant de représentations sensibles de la sécheresse, de la famine et des épidémies, mais aussi l'image de monstres impossibles à rassasier qui enlèvaient les enfants (d'où leur nom de ravisseuses) et torturer les mortels. Les dieux ne les détruisirent pas parce qu'ils se servaient de leur méchanceté pour tourmenter les mortels, tel l'aveugle Phinée, dont elles souillaient la nourriture. Chassées par les fils de Borée, Zétès et Calaïs, elles s'établirent dans les îles Strophades. Mais leur rôle infernal continua, et les Latins les assimilaient la plupart du temps aux Furies, gardiennes du sombre Tartare.

LES GORGONES

Publié le 10/01/2007 à 12:00 par humeurs
LES GORGONES
Monstres fabuleux, enfants des divinités marines Phorcys et de Céto.
On les representait sous la forme de femmes à la chevelure faite de serpents entrelacés et parfois dotées d'ailes; elles vivaient près du pays des Hespérides.
On distingue en général trois Gorgones:
- Euryale,
- Sthéno,
- Méduse (la seule mortelle).
Cette dernière dont le regard pétrifiait, fut vaincue par Persée qui trancha la tête de Méduse, d'un seul coup de serpe; alors, à sa grande surprise, Pégase, le cheval ailé, et le guerrier Chrysaor brandissant un sabre d'or, jaillirent de son corps décapité. Selon la légende, Méduse aurait été une belle jeune fille, un peu trop fière de sa chevelure. Pour la punir, Athéna l'aurait changée en un paquet de serpents.
Athéna plaça sa tête sur son égide. Dans une autre tradition, elle aurait enterré cette tête sous la place du marché d'Athènes pour la protéger cette ville et aurait donné une mèche de "cheveux" à la ville de Tégée pour la protéger. (Méduse signifie "celle qui protège" en grec)
Asclépios découvrit que le sang de la Méduse faisait mourir ou ressusciter selon de quelle veine il provenait.


PHOTO extraite du film LE CHOC DES TITANS (Méduse)

LES MOIRES ou PARQUES

Publié le 10/01/2007 à 12:00 par humeurs
LES MOIRES ou PARQUES
Appelées MOIRES par les grecs et PARQUES par les romains , ces trois divinités symbolisaient le destin. On les considère comme étant filles de la nuit.

Les Moires étaient trois:
- Clotho, (en romain : Nona) qui filait les jours et les événements de la vie.
- Lachesis, (en romain : Decima)qui enroulait le fils et tirait les sorts.
- Atropos, (en romain : Morta) qui coupait avec ses ciseaux le fil de la vie.

De nombreux auteurs classiques considéraient les Moires comme plus puissantes que les dieux eux mêmes; Homère et Virgile représentaient Zeus pesant sur une balance les sorts des héros. Ainsi, Zeus apparaît plus comme l'exécuteur du destin que comme celui qui le détermine. C'est la Moire qui empêche les dieux d'intervenir sur le champ de bataille de Troie lorsque le héros voit sa dernière heure arriver.

Accompagnant Ilithye, Déesse de la Naissance, les Moires vont au berceau de chaque nouveau-né pour déterminer le destin de l’enfant et répartir sur sa vie leurs lots de bien et de mal. Le folklore et les contes de fées parlent des offrandes faites aux bonnes fées en faveur de l’enfant. Quand une personne se mariait, les Destinées étaient invoquées afin que l’union soit heureuse ; et lorsque la fin de la vie approchait, les Moires venaient en couper le fil.

Les artistes les ont la plupart du temps représentées sous les traits de vieilles femmes sèches et aveugles (le destin aveugle!) ne possédant qu'un seul oeil qu'elles se disputent sans cesse.

Chez les Romains les Parques se nommaient Nona, Decima et Morta. Elles présidaient à la naissance, au mariage et à la mort. Elles étaient représentaient sur le Forum et on les appelait Tria Fata (les 3 fées).



TABLEAU DE F. GOYA


LES ERINYES

Publié le 01/11/2006 à 12:00 par humeurs
LES ERINYES
Les Erinyes, esprits femelles de la justice et de la vengeance, personnifient le châtiment et par delà même le remord.
Elles étaient nées des gouttes de sang qui tombèrent sur Gaia, la Terre, lorsque Cronos mutila Ouranos . Selon une variante, elles furent enfantées par Nyx, la Nuit. Leur nombre reste généralement indéterminé, mais le poète Virgile en dénombre trois : Alecto, Mégère et Tisiphoné respectivement «l'implacable», « la malveillante» et « la vengeresse du meurtre ».
Appelées "FURIES" par les romains, elles veillaient à ce que la vengeance fût en définitive accomplie.
Elles habitaient dans le Tartare, l'Enfer grec, où lorsqu'elles ne surgissaient pas sur la terre pour punir les criminels vivants, elles faisaient subir des tortures sans fin aux damnés éternels.

Eschyle évoque à maintes reprises les déesses de la vengeance dans son œuvre et va jusqu'à les mettre en scène dans une tragédie portant un de leur nom, Les Euménides .
Pour Eschyle, les déesses de la vengeance sont comme les Moires : elles n'oublient rien et sont aussi inséparables que déterminées . Destructrices des races , elles peuvent rendre les fautes héréditaires et faire expier les générations futures . Aussi le poète les place près de la Justice , s'appliquant à faire cesser tout bonheur illégitime et hurlant sur les demeures des fautifs .